« Si les sénateurs ne votent pas les amendements à la loi électorale, le pays connaitra le 2e lundi de septembre un événement politique majeur à nul autre pareil ». C’est en ces termes que le sénateur Wencesclass Lambert avait brandi, fin août, la menace de se démettre du Sénat à côté de quatre autres sénateurs proches du pouvoir pour faciliter l’organisation des élections dans le pays. C’est un Wencesclass Lambert visiblement empêtré, voire embarassé devant les caméras de journalistes qui revient sur ses propres déclarations ce mercredi.
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