Générateur de croissance et d’emplois, le secteur économique devra absorber 43,2% des crédits budgétaires, soit 52, 93 milliards de gourdes. Ce montant sera partagé ainsi : 24,5 milliards de gourdes pour des investissements dans les infrastructures, 5,9 milliards de gourdes pour le programme de rénovation urbaine, 4,5 milliards de gourdes pour le renforcement de l’approvisionnement électrique sur tout le territoire et 2,4 milliards de gourdes pour l’alimentation en eau potable et l’assainissement. Selon la ministre de l’Economie et des Finances
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