Le transport en commun assure le pain quotidien à une frange non négligeable de la population. Certains vivent essentiellement de cette activité. L’État tire aussi sa part du lot. Les propriétaires paient régulièrement les taxes qui leur sont imposées. Cependant, certains véhicules assurant cette fonction sont dans un état lamentable. Il suffit de passer une trentaine de minutes au boulevard Jean-Jacques Dessalines et dans quelques autres artères de la capitale pour s'en faire une idée. Dans des pick-up défoncés, sur lesquels des carrosseri
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