Avec son sourire enjôleur, le directeur de l’institution n’y est pas allé par quatre chemins pour témoigner de la valeur du patrimoine culturel haïtien et ramener les tambours à leur juste place. En plein air, derrière une table nappée de rouge, cet artiste complet, par ailleurs prêtre vaudou, a évoqué tout une kyrielle de principes, régissant la confection et l’utilisation de cet instrument de musique qui, prétend-t-il, est doué de sentiments.
« Depuis la nuit des temps, le tambour ne cesse d’être déprécié », soupire Erol Josué, avec l’espr
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