« Ce qui m'a séduit dans l'écriture de Yanick Lahens c'est la langue. Elle est à la fois simple et extrêmement poétique. Il est question aussi de désir et d'érotisme dans une sensibilité de femme. Dans une finesse qui ne m'a pas laissé indifférente. Ce fut le cas autant dans « La couleur de l'aube » que dans « Guillaume et Nathalie », révèle Eva Doumbia, metteure en scène et fondatrice de la compagnie La part du pauvre. Invitée par le théâtre de la criée à Marseille, celle-ci travaille en ce moment sur une série de créations autour d'écriture d
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