« L’organisation des élections en Haïti durant les trois dernières décennies (1987-2017) est devenue un piège à cons, car ce n’est pas le candidat le plus capable ou celui réunissant autour de son nom la majorité des votes qui l’emporte nécessairement, mais plutôt celui jouissant de l’appui combiné de l’étranger et de l’establishment politico-financier de la république de Port-au-Prince, le candidat dont la personnalité garantit le maintien des intérêts multiples de ceux ayant toujours dirigé le pays par procuration. »
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