Le Nouvelliste: Vous vivez à Montréal où vous êtes professeure de français, après \"Une voix dans la nuit\", vous offrez cette année à vos lecteurs, \"Le malheur vient parfois du pire\", d\'où vient cette passion d\'écrire?
Sophia Désir : Depuis ma plus tendre enfance, j\'ai toujours eu l\'imagination fertile. A l\'école primaire, par exemple, mon exercice favori était la rédaction. Déjà, je pouvais donner libre cours à mon imagination. A l\'adolescence, je dévorais littéralement tous les livres qui me tombaient sous la main : Bandes dessi
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