Un musée à Tabarre qui raconte notre passé de peuple

Depuis bientôt 17 ans, le Parc historique de la canne à sucre se donne un devoir de mémoire : conserver des fragments de notre passé. De cette terre baptisée « Bohio, kiskeya », en passant par la colonie espagnole et française, pour aboutir à la révolution des esclaves, le musée du parc nous invite à remonter le temps et à ressasser cette fierté de peuple ayant conquis sa liberté.

Caleb Lefèvre
Par Caleb Lefèvre
12 avr. 2021 | Lecture : 3 min.

En 2004, pour fêter le bicentenaire de notre indépendance nationale et du même coup honorer la mémoire de la jeune fille Françoise Canez Auguste, décédée d’une leucémie, les tenants du Parc historique de la canne à sucre en ont profité pour conserver et réhabiliter des ruines coloniales. Une initiative qui débouche sur un musée d’histoire érigé sur un site patrimonial. Lequel était la propriété de Chateaublond, pour ensuite être confié au général Lerebourg afin de récompenser ses prouesses à la guerre de l'Indépendance. C’est fin

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