Azor n'est  plus,
De toutes les  fêtes,
Maître des airs,
Chauffés à blanc
Du plat des  mains.
 
Azor n'est  plus
Qu'un  souvenir
Du petit écran,
Dans ses échos
Jusqu'au Japon.
 
Azor n'est  plus
Qu'un chant du  cygne,
De la légende
De  l'Assotor,
Tambour battant.
 
Azor n'est  plus,
Qu'une  rumeur
De mort qu'on  pleure
A la  baguette
Des grands  silences.
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