C’est une Gaël Monnin débordée que je retrouve dans le sous-sol de l’ambassade d’Haïti à Washington. Entourée de cartons qui ne sont pas encore défaits et son fils sur le bras, la gérante de Galerie Monnin est au four et au moulin. Mais prévenante et tout sourire, elle me parle de ses bébés qui attendent d’être sortis de leurs boîtes. Il lui faudra les déballer, puis les installer dans leur nouvelle demeure pour l’inauguration des « jardins de l’ambassade » et du nouvel espace attribué à la section consulaire prévue pour le samedi 10 septembre.