À l'entrée, nous empruntons une voie poussiéreuse, les feuilles des arbres sont poudrées. Le long de la route, on compte quelques maisons «de Dominicains», signale un passant qui parle notre langue. Après un détour apparaît une masse d'habitations en bois, nues et fragiles. Maintenant, de nombreux regards observent et chuchotent. Un viejo à moitié édenté demande si nous sommes des envoyés du président Martelly. C'est à faire fondre en larmes.
Nous sommes reçus chez Guirlène, mère de sept enfants. Son sol est en terre battue, ses quelques meu
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