Comme Robinson Crusoé seul avec son chien perdu sur une île, le député Arnel Bélizaire, seul au Parlement pendant les trois jours du carnaval des Fleurs, mène son combat loin des caméras des médias. Le parlementaire continue de croire en la révocation du président du Conseil supérieur du pouvoir judiciaire (CSPJ), la libération de ce qu’il appelle les prisonniers politiques comme les frères Florestal et des comptes sur les fonds d’appui alloués au Parlement.
La bouche un peu desséchée, des joues maigrichonnes, c’est un député Arnel Bélizai
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