-Il y a des rêves traumatisants, me dit brusquement Albert Buron après avoir vidé d'un trait le contenu de son verre de whisky.
Je tendis l'oreille, intéressé.
-Ne me dites pas que vous rêvez, Buron, m'étonnai-je.
-Je rêve comme tout le monde, s'offusqua Buron. Ce n'est pas parce que je suis conseiller au plus haut niveau que je ne rêve plus.
Il me fit une oeillade.
« Ou te mèt leve a tè, wap toujou reve».
Je ne dis rien, attendant de lui une confidence intéressante.
-Vous vous rappelez ce texte que ce petit plaisantin et aigri chroniqu
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