Le vaudou entre rayonnement international et identité haïtienne

« La cérémonie vaudou des esclaves du Bois-Caïman en 1791 a été très bénéfique tant pour la première République noire du monde que pour l'humanité entière. Par cela, nous avons frayé le chemin de la décolonisation à d'autres Etats du monde, en luttant contre l'esclavage... » A travers ces propos de l'Ati national, Max Beauvoir, recueillis par Le Nouvelliste, nous pouvons entrevoir certains liens et écarts entre cette forme de culture, disposant des principes de « 21 nations », qui, entre marginalisation et diabolisation, est pourtant très visitée dans les profondeurs de ses veines identitaires, sa vitalité ancestrale et ses vérités non ou pas assez vulgarisées !

207 ans après l'indépendance de la République d'Haïti, ils sont de plus en plus nombreux les étrangers à se rendre dans des péristyles en Haïti ou à participer à certaines fêtes populaires et à des cérémonies où les loas sont à l'honneur. Certains se sont même faits initier au vaudou. De l'autre côté de nos frontières, nombreux sont les vaudouisants qui, tout en s'installant dans la diaspora haïtienne un peu partout dans le monde, notamment aux Etats-Unis, en France, au Canada, à Cuba et en République Dominicaine, etc., continuent de manifeste

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