Depuis le passage de Claudy Gassant à la tête du parquet de Port-au-Prince, sous la présidence de René Préval, les actions - dont les unes plus spectaculaires que les autres - posées par les différents commissaires du gouvernement qui se sont succédé, n'ont pas cessé de provoquer des remous. Quand ce n'est pas un ministre qui est convoqué au parquet ou une prise de gueule entre un inspecteur de police et un commissaire du gouvernement, c'est un abus de pouvoir commis par le chef de la poursuite sur une personnalité quelconque. Depuis le jeudi
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