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Louis Diaquoi, ultranationaliste

Quand Edouard (Dadou) Berrouet, contemporain décédé à un âge fort avancé, parle de Louis Diaquoi, on se tourne vers la porte ou la fenêtre, on croit qu'elle va s'ouvrir sur Louis Diaquoi, qu'il est vivant, ce portrait fragmenté d'âme maudite : « Je vais te présenter trois aînés : Georges Petit, représentant de la bourgeoisie nationaliste, Jacques Roumain, principale figure de la gauche nationaliste et François Duvalier, nationaliste haïtien».

Quand Edouard (Dadou) Berrouet, contemporain décédé à un âge fort avancé, parle de Louis Diaquoi, on se tourne vers la porte ou la fenêtre, on croit qu'elle va s'ouvrir sur Louis Diaquoi, qu'il est vivant, ce portrait fragmenté d'âme maudite : « Je vais te présenter trois aînés : Georges Petit, représentant de la bourgeoisie nationaliste, Jacques Roumain, principale figure de la gauche nationaliste et François Duvalier, nationaliste haïtien». Mais il ne faut pas s'y tromper. Par rapport à la plupart de ses amis, Louis Diaquoi n'est pas un ascèt
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