Sous une tente, une sexagénaire n'ayant rien perdu de son élégance déguste avec un plaisir non feint un met devenu rarissime à cause de « l'acculturation culinaire » : le tchaka *. Une ligne de sueur sur la nuque, elle épuise son pot, un oeil dans l'assiette de riz blanc à la sauce « poul peyi a kalalou » d'une de ses amies.
Curieuse jusqu'au bout des doigts et ouverte à la découverte ou à la redécouverte de plaisir pour ses papilles, elle tend une oreille à la voix du chef Stéphane Berrouet Durand, de « Goût et saveurs lakay », en pleine