Cette idée du secteur privé divisé, paralysé non seulement par les rivalités d'ordre historique et sociologique mais aussi par la conjoncture politique, court tout au long de ces cinquante dernières années. Ce sont à plusieurs égards les entrepreneurs et autres qui financent l'élection et la réélection de nos dirigeants à des fins personnelles, sans souci victorieux du bien commun ou sans volonté mobilisatrice de changement. Mais notre hantise, par concomitance, c'est l'impuissance ou l'inefficacité de ce secteur important de la vie nationale
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