De la nécessité de l'enseignement de la psychologie interculturelle en Haïti

Ma plaidoirie, si on peut l'appeler ainsi, n'est pas faite à partir du constat de l'enseignement de la psychologie culturelle et interculturelle au sein des universités européennes et nord-américaines.

Ma plaidoirie, si on peut l'appeler ainsi, n'est pas faite à partir du constat de l'enseignement de la psychologie culturelle et interculturelle au sein des universités européennes et nord-américaines. Si oui, je serais tombé dans le même piège qui me pousse à réfléchir sur une telle nécessité, c'est-à-dire l'ethnocentrisme de la psychologie (Dasen 1993). Ma réflexion se place surtout dans le constat qu'Haïti, du point de vue de la psychologie de la communication culturelle, a permis d'émerger une culture tierce (Casimir, 1989). C'est-à-dire un

Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.

Pas encore de compte ? Inscrivez-vous