Au bout du fil, on a droit à un Luck Mervil en pleurs. Il suffoque juste à l'idée qu'on peut songer un seul instant que l'argent de Vilaj Vilaj ait été détourné. « Je ne suis pas un voleur et ceux qui connaissent depuis 20 ans le fils du Québec que je suis le savent fort bien. Je suis ébranlé par ce que je crois être une campagne de salissage », confiait-il hier au Journal de Montréal.
Il dit avoir reçu plusieurs appels de soutien, mais ça ne suffit pas à effacer tous les doutes qui pèsent aujourd'hui sur son organisation Vilaj Vilaj. Et il
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