En ce samedi, 12 février, jour de fête patronale et de marché à Marbial, la bourgade est assez animée. La place du marché occupe une partie du lit desséché de la rivière Gosseline. Des vendeuses de vivres locaux ou de produits comestibles, de vêtements usagés ou de cosmétiques importés de la République dominicaine sont accroupies devant leurs marchandises et surveillent frileusement les éventuels acheteurs. Interrogée sur ses activités commerciales, une femme d'une cinquantaine d'années à la peau cuivrée affirme, dans un créole guttural, n'avo
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