La communauté internationale n'a aucune objection pour que le président René Préval reste à son poste jusqu'au 14 mai, a indiqué en substance Edmond Mulet, le 6 février, vingt-quatre heures avant la date constitutionnelle qui devait marquer le départ du pouvoir du président Préval.
Le représentant spécial du secrétaire général des Nations unies, Edmond Mulet, dans un long entretien exclusif au Nouvelliste, estime qu'« il est important que le président Préval puisse compléter son mandat de 5 ans ».
« Il y a deux interprétations dans la C
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