Pierre D. Sam
Des amis et connaissances divers m'ont posé la question à savoir pourquoi j'ai cessé d'écrire sur les journaux depuis l'année dernière. Ma réponse à tous est que je n'écris pas pour le plaisir d'écrire, mais que simplement j'écris quand je réalise que les conditions psychologiques et mentales induisent les gens chez nous à réfléchir en dehors du schéma journalier des tracasseries culturelles et financières imposées par le «Primum Vivere». La lecture sert alors de dérivatif à la pensée en la portant vers un objectif commun sa
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