Un second tour entre Manigat, Célestin et Martelly ?

L'idée évoquée par la France d'organiser un second tour avec les trois candidats qui sont arrivés en meilleure position du scrutin présidentiel du 28 novembre dernier, afin de trouver une solution à la crise électorale, a été rejetée d'un revers de main par Mirlande Manigat, pour n'être pas conforme à la Constitution et à la loi électorale.

Lemoine Bonneau
Par Lemoine Bonneau
17 déc. 2010 | Lecture : 2 min.
L'idée évoquée par la France d'organiser un second tour avec les trois candidats qui sont arrivés en meilleure position du scrutin présidentiel du 28 novembre dernier, afin de trouver une solution à la crise électorale, a été rejetée d'un revers de main par Mirlande Manigat, pour n'être pas conforme à la Constitution et à la loi électorale. Constitutionnaliste de son état, la candidate du Rassemblement des démocrates nationaux progressistes (RDNP), qui a également boudé l'invitation de l'institution électorale, pour un recomptage des procès-ver

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