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Madame,
Je viens de prendre connaissance de votre lettre et de son préambule reçus ce 7 septembre 2010. Je vous remercie d'avoir pris le temps de me dire ce qui vous tenait à coeur. Cela va, je n'en doute pas, faire avancer le débat sur l'éducation en Haïti en remettant sur le tapis mes propos.
Vos mots, je les ai lus et relus. D'abord surpris, puis étonné devant votre colère, et enfin heureux quand je me suis imaginé comme j'ai dû vous faire plaisir. Car, Madame, vous vous lâchez, vous ne me manquez pas. En plein dans le mille pour le mauvai