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« Pas de raison de ne pas faire confiance au CEP »

Si le Conseil électoral provisoire (CEP) est décrié par différents secteurs de la vie nationale, le secrétaire général de l'Organisation des États américains (OEA), Jose Miguel Insulza, en visite de 48 heures au pays, estime qu' « il n'y a pas de raison de ne pas faire confiance au CEP ». M. Insulza rejoint donc le chef de la Minustah, Edmond Mulet, qui ne cesse de louer l'organisme électoral qui, selon lui, est « crédible ».

Valéry Daudier vdaudier@lenouvelliste.com
27 août 2010 — Lecture : 2 min.
Arrivé à l'aéroport international Toussaint Louverture le jeudi 26 août 2010 à 11 h30 a.m., le secrétaire général de l'OEA, Jose Miguel Insulza, a entamé sa première visite au pays depuis le lancement du processus électoral. Bien que jugé non crédible par plusieurs groupements politiques et des membres de la société civile, M. Insulza, au cours d'une conférence de presse donnée ce vendredi quelques minutes avant de quitter le pays, a indiqué qu' « il n'y a pas de raison de ne pas faire confiance au CEP ». Questionné sur une probable crise é

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