En avril 2010, à la suite du tremblement de terre du 12 janvier, un arrêté présidentiel déclara d'utilité publique près de 7,000 hectares sis au nord-ouest de la capitale.
0n veut croire que cette mesure - qui se « légitimise » par le souci affiché d'établir un pôle de développement urbain harmonieux et de faciliter le relogement, selon les normes, d'une partie des sinistrés - n'aboutira pas à une de ces verrues, du genre Cité de Dieu ou Grand Ravine, qui galvaudent le front de mer, de beaux paysages de montagne et donnent de Port-au-Prince un
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