Le jeu vaut-il la chandelle?

Le public n'est plus partie prenante de son équipe nationale, il y a belle lurette.

Raphael Féquière
Par Raphael Féquière
27 août 2010 | Lecture : 2 min.
Le public n'est plus partie prenante de son équipe nationale, il y a belle lurette. C'est que nos dirigeants ont dû faire face à d'autres choix en orientant par exemple la préparation de nos athlètes vers des cieux plus propices à leur épanouissement, à l'approche des échéances internationales. C'est une nouvelle porte de sortie pour eux. On se débat toujours avec ces choix et mises en place. Souvent moralement coûteux, voire dégradant (de se voir toujours dépendant d'un certain assistanat), ces déplacements coupent les athlètes de leurs bas

Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.

Pas encore de compte ? Inscrivez-vous