« On en a marre ! ». C'est ainsi que s'expriment beaucoup de résidents de Bas-Peu- de-Chose, de Canapé Vert, pour ne citer que ces quartiers, pour témoigner de leurs déboires au quotidien face à la situation de plusieurs rues qui restent encombrées par des tonnes de gravats provenant des décombres des maisons effondrées lors du séisme du 12 janvier 2010. Dans certaines rues accessibles au Bas-Peu de-Chose comme les rues Alerte, Nicolas, Monseigneur Guilloux, Magloire Ambroise, Romain, Jolibois et Taujours (Canapé Vert), la circulation automobi
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