Minus, table garnie

C'était un de ces jours de l'avant-séisme où je choisis, pour travailler, de joindre l'utile à l'agréable en préférant à mon terne bureau l'agréable restaurant d'un hôtel bien coté de Port-au-Prince.

Christina Guérin
Par Christina Guérin
27 avr. 2010 | Lecture : 4 min.
C'était un de ces jours de l'avant-séisme où je choisis, pour travailler, de joindre l'utile à l'agréable en préférant à mon terne bureau l'agréable restaurant d'un hôtel bien coté de Port-au-Prince. En effet, electricité à gogo, ventilateur, jardin fleuri, expresso, club sandwich et pomme de terres frites, seraient, en ce jour difficile, un peu de baume sur mon coeur stressé. Surtout que la note serait aux « frais de la princesse » (mon employeur). Mais je me rendis vite compte qu'en matière de « frais de la princesse » j'avais encore beau

Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article. Pas encore de compte ? Inscrivez-vous