Il est 9 heures du matin, le 4 février 2010, et sur la route de Laboule, dans les hauteurs de Pétion-Ville, où j'attends un transport public, j'ai la chance d'être véhiculé par Gaël Painson, un vieux routier avec qui j'ai eu le privilège de collaborer aux Gonaïves après la passage du cyclone Hanna et aussi après l'effondrement meurtrier, à Nérette, un quartier de Pétion-Ville, du collège « La promesse évangélique », le 7 novembre 2008. Je dis bien que c'est là une chance, car Gaël Painson, aussi appelé « Ti Painson Tèt nobe » à cause de son cr
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