Depuis mercredi matin, le drapeau haïtien, en berne, flotte devant le palais présidentiel effondré de Port-au-Prince. Des gardes, invisibles depuis le séisme, se tiennent à nouveau devant un palais que les Haïtiens appellent "la Maison Blanche".
En face, dans un jardin public devenu un immense camp de toile abritant des sans-abri, des drapeaux haïtiens ont été dressés et des jeunes, pieds nus, jouent au football sur un terrain improvisé.
Huit jours après le séisme qui a dévasté Port-au-Prince, la vie commence lentement à reprendre ses dro
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