Dans l\'enceinte de ses élégants murs de briques du futur hôtel Oasis, des clients dînent au homard, sirotent du DomPerignon à 300 dollars américains la bouteille, puis se détendent dans un salon luxueux.
Juste dehors, le plan d\'une boutique d\'hôtel exclusive, comportant sur le toit un espace où peut se poser un hélicoptère et un garage pouvant accueillir 300 voitures, domine le paysage en pastel orange. Le panorama rappelle Coral Gables ou South Beach, des régions hautement touristiques de Miami en Floride. Mais tel n\'est pas le cas.
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