Kassav /Zéklè

Match Inédit

Ralph Boncy a été pendant longtemps, le plus sérieux des journalistes culturels en Haïti. Ancien de la Radio Nationale, de Radio Métropole, du Nouvelliste et de Tap Tap magazine, l\'ancêtre de TICKET, les belles années de Zekle, il connaît, la folie Kassav, aussi. Le premier mari d\'Emeline Michel vit aujourd\'hui à Montréal, mais continue d\'être journaliste culturel pour les plus réputés medias de cette ville. Il trace en observateur avisé un rapide parallèle entre zouk et compas et n\'hésite pas de dire ce qu\'il pense. Simple, dense et musclé. Chaque mot a tout son poids. Le co-fondateur, parolier et premier gérant (manager) de Zèklè parle à TICKET

Propos recueillis par
Frantz Duval
Par Propos recueillis par Frantz Duval
01 oct. 2009 | Lecture : 2 min.
Compas, zouk, ces deux mots te disent quoi? R- Le compas, je suis né dedans. Je l\'ai toujours écouté. Il est dans mon ADN. Le zouk est né trente ans plus tard, avec Kassav, dans les années 80. Le Zouk, c\'est cette pop créole efficace qui répondait aux besoins de son époque. Depuis, certains en ont abusé. Comme ceux dont Franky Vincent parle dans \"Chanteur de zouk love\". Kassav sera en concert avec Zekle en Haïti, c\'est avant tout un remake ou le parfait exemple de deux parcours inégaux ? R- Plutôt le parfait exemple de parcours iné

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