Dans presque tous les coins de Port-au-Prince, les trottoirs sont jonchés de bouquins de toutes sortes. Un Stendhal, un Henry Miller, un Bernard Malamud, s\'achète à 25, à 50 gourdes et parfois moins. C\'est selon la saison. Les livres ne manquent pas et même des meilleurs.
Des bibliothèques publiques (municipales ou communautaires) s\'ouvrent un peu partout : Fonds-Parisien, Verrettes, Dondon, Liancourt, Maniche, Trou du Nord, etc.
Pourtant, le livre est peu présent dans la vie quotidienne d\'une très grande majorité d\'Haïtiens. Le taux
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