\"L\'engagement et la conviction font la personnalité d\'un homme d\'Etat\"

La Chambre des députés a comme enterré le dernier espoir des ouvriers de l\'industrie de la sous-traitance de voir le salaire journalier minimum passer à 200 gourdes. Entre l\'objection de la présidence qui fixe le salaire journalier des ouvriers de la sous-traitance à 125 gourdes et la loi initiée par le député Steven Benoît, la commission des Affaires sociales de la Chambre basse avait proposé une solution médiane. Une alternative qui provoque des commentaires parfois désobligeants. La présidente de la commission, Gérandale Télusma, répond aux questions du journal.

Propos recueillis par Claude Gilles
21 août 2009 — Lecture : 9 min.
Le Nouvelliste (L.N) : Madame la députée, vous êtes présidente de la commission des Affaires sociales de la Chambre des députés qui a récemment présenté son rapport relatif au salaire minimum. La commission a proposé un salaire minimum de 150 gourdes pour le secteur de la sous-traitance, et voilà que l\'Assemblée a voté en faveur des objections du chef de l\'Etat fixant le salaire journalier à 125 gourdes pour l\'industrie de la sous-traitance. Pourquoi le rapport de la commission n\'a-t-il pas été accepté ? Gérandale Télusma (G.T) : L\'Asse

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