Hier alliés politiques et beaux-frères par surcroît, les chemins du président René Préval et ceux du député Steven Benoît se décroisent depuis le vote de la loi sur le salaire minimum. « Je me vois dans l\'obligation d\'apporter une réponse au matraquage médiatique orchestré sur le salaire minimum par la présidence de la République, une partie du secteur des affaires et cette fameuse association de chômeurs si satisfaite de son état, si subitement très active et dotée de fonds extraordinaires et inépuisables », dénonce le parlementaire qui a la
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