Parlement/Exécutif/Salaire minimum

Le matraquage qui étouffe Benoît !

Le député Steven Benoît, initiateur de la loi fixant le salaire minimum à 200 gourdes, s\'attaque au « matraquage médiatique orchestré par la présidence » pour faire échouer une « loi salutaire ». Dans une lettre-réponse au chef de l\'Etat, le transfuge de Lespwa s\'attaque aussi au secteur privé des affaires.

Claude Gilles
Par Claude Gilles
23 juil. 2009 | Lecture : 3 min.
Hier alliés politiques et beaux-frères par surcroît, les chemins du président René Préval et ceux du député Steven Benoît se décroisent depuis le vote de la loi sur le salaire minimum. « Je me vois dans l\'obligation d\'apporter une réponse au matraquage médiatique orchestré sur le salaire minimum par la présidence de la République, une partie du secteur des affaires et cette fameuse association de chômeurs si satisfaite de son état, si subitement très active et dotée de fonds extraordinaires et inépuisables », dénonce le parlementaire qui a la

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