Médias

Le métier de journaliste culturel

On ne s\'étonne pas de voir, dans un pays où les éléments culturels authentiques sont considérés comme ce qui nous reste de meilleur, que le métier de journaliste culturel soit un passe temps. Ou mieux un simple lieu de contact avec le monde des arts et du spectacle. Difficile de s\'attendre à mieux quand le binôme politique culturelle se confine dans sa seule dimension conceptuelle. Ou pire quand, dans les médias, l\'information se réduit à sa seule logique marchande. Entretien avec William Saint-Fleur, animateur de \'\'Pluri culture\'\' et responsable de la section culturelle de radio Vision 2000

Le Nouvelliste
Par Le Nouvelliste
20 juil. 2009 | Lecture : 4 min.
Le Nouvelliste : William Saint-Fleur, \'\'Pluri culture\'\' fait partie des rares émissions qui arrivent, malgré la situation difficile à laquelle est confronté le domaine des arts et du spectacle en Haïti, à garder une certaine constance dans ses éditions. Quelle est la recette ? William Saint-Fleur : L\'émission s\'étend sur une durée de 90 minutes depuis l\'introduction de \'\'Pluri causerie\'\', un espace d\'une demi-heure sur des sujets culturels d\'importance commentés par des acteurs culturels et des invités de marque triés sur le

Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article. Pas encore de compte ? Inscrivez-vous