« C\'est vraiment un coup classique », raconte la dermatologue Catherine Oliveres-Ghouti (Paris), membre de la Société française de Dermatologie. « Trop de jeunes femmes et de tatoueurs l\'ignorent mais il existe un risque de pénétration de l\'encre dans le liquide céphalo-rachidien ».
Comme nous le confirme un anesthésiste, « une piqûre entraîne en effet la migration de cellules de la peau à l\'intérieur de l\'organisme. En présence d\'un tatouage lombaire, nous faisons en sorte de placer l\'aiguille en dehors de la zone tatouée. Et si le t
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