Avec le gouvernement Préval-Pierre-Louis, dont l\'accouchement sous césarienne va avoir certainement des conséquences orageuses jusque-là plus ou moins prévisibles, on a le deuxième mi-temps. Mais oui ! Sous le volcan électoral. On est plus proche, on le voit, du tennis que du foot-ball, c\'est-à-dire d\'un set déterminant, d\'un ultime jeu gagnant périlleux pour l\'un comme pour l\'autre. On appelle ça en tennis «time break». Pour l\'éviter, il suffit de renoncer à être joueur, mais c\'est tumultueux, dévastateur comme un ouragan. C\'est le
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