Les petits commerces poussent comme des herbes folles sur les trottoirs et la chaussée au centre-ville de Port-au-Prince. Des plantes grimpantes poussent sur les toits des maisons de commerce. Elles ont parfois l\'air abandonné même lorsqu\'elles fonctionnent. Des peintures écaillées, des murs délavés, des graffitis, des enseignes ébréchées, éventrées, des vitres trouées, des établissements abandonnés, noircis, tombant en ruine sont autant d\'expressions de façade du poumon commercial de Port-au-Prince.
Si les rues n\'étaient pas bondées de
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article. Pas encore de compte ? Inscrivez-vous