« J\'ai perdu une jambe, il y a deux ans, en chutant dans une bouche d\'égout sans couvercle à la rue Pavée », s\'est exprimée, désolée, Nadège, une jeune femme d\'une vingtaine d\'années, qui est, depuis lors, handicapée.
La révélation de cette jeune mère d\'un enfant, accusant la mairie de Port-au-Prince qu\'elle rend responsable de son malheur, n\'est pas singulière. Les bouches d\'égouts qui ne sont pas couvertes à travers bon nombre de rues de la zone métropolitaine causent des dommages irréparables à la population.
Alors que les b
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