A l\'entrée de Miragoâne comme à Venise. Sauf qu\'il n\'y a pas de gondoles, mais des « bwafouye » transportant des gens amusés et parfois dépités qui se rendent dans le Sud, la Grand-Anse ou les Nippes. C\'est comme ça depuis tantôt quinze jours. Le passage sur le pays de Fay, Gustav, Hanna et Ike a fait monter d\'au moins un mètre le niveau de l\'étang de Miragoane dont un bras recouvre une petite partie de la nationale numéro deux, presque aux portes de la ville de Boyer Bazelais.
Le malheur des uns fait le bonheur des autres. On ne
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