Le Nouvelliste : Avec Nuit Albinos, vous faites voyager le lecteur dans les méandres d\'une écriture foisonnante, picaresque, mêlant à la fois humour et cynisme. Sachant que, de manière théorique, l\'écriture d\'un polar diffère d\'autres formes romanesques, quel effort l\'écriture d\'un tel polar vous a coûté ?
Gary Victor : Avant l\'effort de l\'écriture, il a fallu l\'effort de la conception. Pour moi, un roman se conçoit avant même le fait d\'écrire. Et c\'est encore plus important quand il s\'agit d\'un polar, d\'un roman policier, quan
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