Pour imiter l\'autre, je vous dirai que je vous parle d\'un temps que les moins de cinquante ans ne peuvent pas connaître. Et comment donc ? A mes yeux ils sont nés d\'hier, de la dernière pluie, ratant le meilleur de notre musique de danse populaire.
Voici les années soixante. Notre enfance. L\'école primaire chez les F.I.C. à Pétion-Ville. Les répétitions de l\'ensemble «Nemours Jean-Baptiste» au cours de la journée tout près à Cabane Choucoune ; les facéties et les «Yayad» de notre camarade Joël Georges «Chè pòpòt» en classe, excité par l
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