« Nous sommes obligés d\'aller chercher du sirop à Mirebalais et à Saint-Michel de l\'Attalaye pour la fabrication du clairin », explique, révolté, un guildivier de Baussan, une localité de Léogâne qui compte à elle seule pas moins d\'une vingtaine de moulins et de distilleries. « La production de canne à sucre a chuté », poursuit-il adossé tel un soldat vaincu à un pan de mur.
« Les ateliers de production de sirop et de clairin sont en voie de disparition puisque la matière première est presque que inexistante. Plusieurs ateliers ont dû
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