par Dr Alix Emera
On n\'insistera jamais trop sur l\'importance de la culture populaire dans l\'oeuvre romanesque de Justin Lhérisson. Bien avant la publication de ses récits, il avait fixé dans des articles publiés dans son journal Le Soir ses impressions sur les scènes de rues qu\'il avait minutieusement observées. La mise en parallèle de ces chroniques, souvent signées « Serfolat » ou « Falstaff », avec ses récit montrerait que ceux-ci sont l\'aboutissement d\'un projet conçu un peu avant 1900 et mûri au fil des années :
« Marchands de
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