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Il faut entrer, dans une première lecture, dans les « lodyans » de Justin Lhérisson sans la prétention d\'y déceler une formule philosophique, un principe moral ou un dogme religieux. A l\'opposé des situations ou des personnages de romans d\'une fin de siècle très riche en « modèles », le genre que propose Justin Lhérisson aux lecteurs haïtiens est atypique.
Entre le kalbindaj et le kalewès, le « lodyansè » écrit dans la modestie de l\'oralité. L\'atmosphère qu\'il crée ressemble à la manière du conteur de veillées funèbres ponctuées de kri