La justice doit sévir contre les jeunes faisant partie du programme national de désarmement et de réinsertion, et qui ont eu des implications dans des actes de banditisme. C\'est du moins ce qu\'affirme le président de la Commission nationale de désarmement, démantèlement et réinsertion (CNDDR), Alix Fils-Aimé, qui ne voit rien de répréhensible à ce que les forces de l\'ordre les arrêtent. 
Interviewé par Le Nouvelliste, M. Fils-Aimé a précisé que ceux qui, avant le programme, ont participé à des actes de banditisme ou qui utilisent la casqu
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