« Tout, même ce qui vit, n'est que mort »
(Egon Schiele)
Avec Frédéric Marcelin, la vraie question, c'est de savoir comment il a eu le temps d'écrire tout ça. Les faits et gestes sont connus, reconfirmés, incontestables, cela ne saurait suffire. Né avec une cuillère d'argent à la bouche, indépendant dans l'âme, il est à la littérature haïtienne ce que Shakespeare est à l'anglaise ou Victor Hugo à la française : l'écrivain national, une référence inévitable.
Frédéric Marcelin est de tous les temps: ça fait plusieurs dizaines d'années qu'i
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